Passé la porte Sidi Abdelouahab, naît un monde de légende. Un univers magique entouré de remparts ocre et rouille qui laisse le temps s’écouler seul, hors de ses murs. Ce lieu vivant, emmêlé de passants, laisse deviner de petites ruelles, des portes cachées, des cavernes d’Ali Baba. Les commerces, tantôt embarqués sur des roulettes, tantôt abrités sous de grands voiles blancs, emplissent nos yeux de milles couleurs, des épices aux brocanteurs. Les bijoutiers d’Oujda exposent leur savoir-faire traditionnel, des colliers majestueux nés de pratiques ancestrales, des petits bracelets argentés, sculptés de motifs orientaux transportent les femmes dans une autre époque, une époque féérique. Aujourd’hui, la médina compte plus de 1500 commerces, artisans et services divers et variés. Mais la médina d’Oujda est avant tout un centre de vie qui a vu naître l’implantation de la première école de jeunes filles et l’école L’bali, première école de garçons
الاثنين، 8 مايو 2017
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